Très chère journal d'archives !
La World Academy n'est vraiment pas facile ! Et encore plus quand on est un océan et pas un pays ! J'écris encore cette phrase car c'est ma principal façon de pensée depuis longtemps, mais encore plus depuis que j'ai repris les cours ! Même si grande sœur Pacifique m'a dit de ne plus dire une tel sottise, je persiste dans ma pensée ! Beaucoup de pays se plaignent des cours qu'ils ont, mais pour nous, qui somme des mers ou des océans, c'est bien pire ! Quand j'en est parler ce matin a Portugal, il m'a dit ne pas me comprendre. Il disait que c'était moins compliquer d'être un océan ou une mer qu'un pays, car un pays il faut savoir l'organisé, avoir de bonnes compétences pour cela alors qu'un océan, c'est juste de l'eau. Juste de l'eau ! Tu imagine ?! Voilà ce qu'il à dit ! J'aime beaucoup Portugal mais ça ne m'a pas fait plaisir ! J'en est marre qu'on ne me prenne pas au sérieux et qu'on trouve que j'en fait trop ! Après ils peuvent dire que je suis mignonne ou adorable si c'est pour ce plaindre des que j'ouvre ma bouche pour dire quelque chose ! C'est dure d'être un océan ! J'aimerais qu'ils le comprennent ! Et qu'ils ne me prennent plus pour une gamine !!
Sinon je travail beaucoup car mes sœurs mon dit de faire des efforts. Puis, les professeurs sont gentils. Non. La World Academy n'est pas si difficile en faite. Enfin, si il ne fallait pas se lever tôt non plus ! C'est dur ! Et être a l'heure ! Puis ne pas être mouillé afin de ne pas salir les couloirs.... Enfin, plein de restrictions ! Bon, ce n'est pas ma première années alors j'ai l'habitude. Mais ils sont parfois sévères. Le problème aussi, c'est que je ne côtoies pas beaucoup de monde. Étant la plus jeunes des océans, je partage ma classe avec certaines mers... et yen as que j'aime pas! Elle sont têtues et ce crois tout permis ! Quand aux pays, n'en parlons pas ! Mis a par Grand frère France, Portugal et parfois grand frère Amérique, je ne parle pas à grand monde. Si ! Canada. Mais.. mais je le trouve presque jamais ! A croire qu'il se cache !! Enfin je m'en moque de lui ! Les pays ils me parlent trente secondes puis ils vont faire autres choses ! Puis ils sont bizarre... ba, ce sont des pays quoi ! Du coup, je me sent un peux seul. Mais je me dit qu'au moins, j'ai plus de plaisir après a rejoindre mes eaux !! Elles me manques... j'ai envie d'aller faire un plongeons !! Et les crevettes, elles sont chères et pas bonnes ici !

Je poussa un long soupire et posa mon stylo au creu des deux pages ouvertes de mon livres d'archives. Après ça, je ne savais plus vraiment quoi écrire. Et c'était un constat déprimant en plus. Pfff. J'aime vraiment pas l'école !

Je referma mon livre d'archives en laissant le stylo comme marque page puis le posa sur mes jambes. Depuis maintenant deux heures, j'étais assise sous cette arbre a gribouillée et a écrire mes archives. Pourquoi ? Parce qu'un cours avait était annulé au dernier moment et vu qu'il n'y avait pas d'autres endroit pour se posé durant les heures de trous, j'avais trouvé ce petit coin frais sous cette arbre, à l’abri du soleil et plus ou moins à l'écart. Enfin, je n'étais pas vraiment là depuis deux heures. Au début, j'étais tombé sur Iggy qui avait l'air pressé et faisant des aller-retours dans les couloirs cherchant je-ne-sais-quoi ou je-ne-sais-qui. Vu que je n'avais rien à faire et car j'aimais bien le suivre, je l'ais méchamment collés durant un petit moment, le regardant s’énervait pour quelque chose que je n'avais pas compris et que je ne voulais pas comprendre de toutes façon. Mais sa patience avait très vite atteint ces limites et il me lâcha a Mexique quand il tomba par hasard sur lui. Le mexicain avait alors commencer à me parler de je ne sais quoi encore et c'était si long et compliquer que je m'étais endormi. Le pire étant qu'il m'avais réveiller avant de se plaindre que je n'écoutais jamais rien à ce qu'on me disait et de partir. Si c'était juste pour ça, il aurait pus tout simplement partir et me laisser dormir. Je me suis alors promenée dans les couloirs mais là c'est Autriche que j'ai croisée et qui m'a dit que je n'avais pas à être ici durant les heures de cours. Il me conseilla alors grandement -me menaçant de me faire encore une fois écouter ses compositions de personnages connus que par lui au piano- d'aller dans la cours, comme tout le monde. Ce que je fis finalement, afin de préservais mes oreilles. Non pas qu'Autriche joue mal, pas du tout, mais je ne suis pas une grande fana de piano. Puis j'en avait mare qu'on me chauffe encore les oreilles. Le tout pour voir que finalement, dehors, tout le monde était occuper dans son coin.

J'étais donc là non pas depuis deux heures, mais depuis un bon moment. J'avais longuement hésiter entre mon casse-croûte de crevettes ou d'écrire dans mon livre d'archive comme quoi c'était pas facile d'être un océan. J'avais choisit la deuxième idée. Cependant, elle était maintenant épuisée. C'est donc dans un nouveau soupire que je sortie ma boite remplies de petites crevettes toutes rouges pour m'occuper le reste du temps en mangeant. Et ça aurait était le cas si, a mon grand étonnement, j'entendis une voix juste a coter de moi et qui, pour une fois, m'était clairement destiné.

-Grouach ?
Voilà bêtement ce que je lui est répondu, les joues bien ronde de ma bouche pleine. Pacifique m'aurais gronder si elle m'aurait vu. Mais elle était pas là. Non, en faite, la personne qui venait de me parler était bien loin de lui ressembler. C'était un garçon au cheveux tout blanc et aux yeux bleu. Il n'était pas grand et avait le visage tout rouge. Sa mains tremblante me désigner d'après ce que j'avais entendue une leçon que je n'avais jamais vu et il me demander de le lui expliquer, enfin, plutôt de lui dire si j'avais compris. Je le regarda quelques minutes, clignant des yeux, la bouche toujours pleine, tentant de savoir si il m'avais reconnut, si il savait qui j’étais ou même de savoir moi-même tout simplement qui il était. Sûrement un pays. Et étrangement, sa tête ne m'était pas tout à fait inconnu.

Au bout de quelques minutes de silence, les yeux dans les yeux, j'avala enfin ma bouchée et lui répondit le plus simplement possible, sans aucune méchanceté dans ma voix, bien au contraire -pour une fois qu'on m'adresser directement la paroles sans que je cherche à attirer l'attention, j'allais en profiter, malgré que ce soit juste pour une simple leçon.
-Eh... pardon. Mais je n'apprend pas exactement la même chose que toi donc je ne peux pas t'aider.

En faite, ba je me trouvais plutôt gênée de ne lui être d'aucune utilité. C'était bien ma veine ! Mais que pouvais-je y faire, un océan n'apprend pas les même choses qu'un pays. Je tenta tout de même un sourire, faible, mais un sourire quand même. On ne sais jamais, peut-être qu'il n'allait pas rester que trente secondes et après voir ailleurs si quelqu'un pouvait l'aider... quoi que ce serait logique après tout. Mince alors !

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